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Quoi de neuf à l’ÉSO?

Depuis 2010, l’Étude sur la santé Ontario (ÉSO) a travaillé fort pour mettre en place une plateforme de recherche sur les maladies chroniques. En collaboration avec le milieu de la recherche et des Ontariens de partout dans la province, nous suivons présentement la santé d’environ 225 000 personnes et avons recueilli plus de 40 000 échantillons de sang. Nous constituons une base de données renfermant des renseignements sur la santé ainsi qu’une bio-banque pour que les chercheurs puissent mieux comprendre le lien existant entre la génétique, le mode de vie et l’environnement – et l’influence qu’ils ont sur notre santé.

Dans la présente section, vous trouverez de l’information au sujet des diverses activités entreprises dans le cadre de l’Étude et les initiatives à venir.

Blood tubes in the laboratory centrifuge

De nouvelles activités de l’Étude à venir pour les participants à l’ÉSO — Dre Victoria Kirsh

26 Août 2025 // Mise à jour

La Dre Victoria Kirsh, épidémiologiste possédant plus de deux décennies d’expérience en recherche, est la nouvelle chercheuse principale et directrice par intérim de l’Étude sur la santé Ontario. Pour en savoir plus, consultez le Bulletin d’information de juillet 2025 de l’Étude sur la santé Ontario :

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Bulletin de l’Étude sur la santé Ontario, juillet 2025

21 Juil 2025 // Échos de l'ÉSO

Dans ce numéro : • Inaugurer une nouvelle ère de recherche en santé basée sur les données • Comment allez-vous dernièrement? • Mise à jour des progrès sur le prélèvement de sang supplémentaire • Une étude nationale sur la santé cardiaque et cérébrale inclut des participants à l’ÉSO • Maintenez vos coordonnées à jour •

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Une étude révèle que les femmes sont plus exposées que les hommes aux risques de maladies cardiovasculaires en raison de facteurs liés au mode de vie

15 Avr 2025 // Mise à jour

Une nouvelle étude utilisant des données de l’ÉSO a révélé que des facteurs courants liés au mode de vie et à la santé, tels que l’alimentation, l’exercice physique, le tabagisme et la tension artérielle, ont un impact plus important sur le risque de maladie cardiovasculaire chez les femmes que chez les hommes. L’étude, dirigée par

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