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Quoi de neuf à l’ÉSO?

Depuis 2010, l’Étude sur la santé Ontario (ÉSO) a travaillé fort pour mettre en place une plateforme de recherche sur les maladies chroniques. En collaboration avec le milieu de la recherche et des Ontariens de partout dans la province, nous suivons présentement la santé d’environ 225 000 personnes et avons recueilli plus de 40 000 échantillons de sang. Nous constituons une base de données renfermant des renseignements sur la santé ainsi qu’une bio-banque pour que les chercheurs puissent mieux comprendre le lien existant entre la génétique, le mode de vie et l’environnement – et l’influence qu’ils ont sur notre santé.

Dans la présente section, vous trouverez de l’information au sujet des diverses activités entreprises dans le cadre de l’Étude et les initiatives à venir.

Blood tubes in the laboratory centrifuge

Données de l’ÉSO incluses dans une analyse multi-études du « tsunami Omicron » au Canada

20 Juil 2022 // Mise à jour

Tsunami Omicron : Les échantillons de sang de milliers de participants à l’ÉSO ont été inclus dans une analyse multi-études montrant que la proportion de Canadiens présentant des anticorps au SRAS-CoV-2 à la suite d’une infection a grimpé en flèche, passant de 5,1 % juste avant la vague du variant Delta (août 2021) à 55,7

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Bulletin de l’Étude sur la santé Ontario, juin 2022

20 Juin 2022 // Échos de l'ÉSO

Dans ce numéro : • Existe-t-il un lien entre certains emplois physiquement exigeants et un risque de cancer du poumon?  • Le projet Confluence vise à doubler la taille des échantillons de l’étude internationale • Une mise à jour de plus de 10 ans sur la plus grande plateforme de recherche en santé au Canada

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Webinaire CanPath : Recherche des stagiaires: Utiliser des cohortes de population pour faciliter le dépistage précoce du cancer

16 Juin 2022 // Mise à jour

Nicholas Cheng présente un aperçu de son étude sur l’identification de biomarqueurs de cancer précoce dans des échantillons de sang pré-diagnostic prélevés chez plus de 400 participants à l’ÉSO. Il démontre comment les signatures sanguines peuvent être utilisées pour dépister les cancers du sein, de la prostate et du pancréas des années avant la détection

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