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Quoi de neuf à l’ÉSO?

Depuis 2010, l’Étude sur la santé Ontario (ÉSO) a travaillé fort pour mettre en place une plateforme de recherche sur les maladies chroniques. En collaboration avec le milieu de la recherche et des Ontariens de partout dans la province, nous suivons présentement la santé d’environ 225 000 personnes et avons recueilli plus de 40 000 échantillons de sang. Nous constituons une base de données renfermant des renseignements sur la santé ainsi qu’une bio-banque pour que les chercheurs puissent mieux comprendre le lien existant entre la génétique, le mode de vie et l’environnement – et l’influence qu’ils ont sur notre santé.

Dans la présente section, vous trouverez de l’information au sujet des diverses activités entreprises dans le cadre de l’Étude et les initiatives à venir.

Blood tubes in the laboratory centrifuge

Des données de l’ÉSO utilisées pour comprendre les taux de dépistage du cancer du sein

27 Fév 2025 // Mise à jour

Les données de plus de 135 000 participantes à l’Étude sur la santé Ontario sont utilisées pour explorer comment les taux de dépistage du cancer du sein – et ce qui se passe par la suite – peuvent varier chez des personnes d’origines ethniques différentes. En couplant les renseignements autodéclarés sur la santé avec les

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Et s’il y avait un test permettant de détecter le cancer du sein des années plus tôt?

21 Fév 2025 // Mise à jour

Du financement provenant du Prospects FACIT Fund de 2024 est utilisé pour mettre au point une technologie susceptible d’identifier les marqueurs sanguins du cancer du sein plusieurs années avant que ce cancer ne soit normalement identifié par une biopsie tumorale. Des données antérieures des participants à l’Étude sur la santé Ontario ont été utilisées pour

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Pleins feux sur la recherche à l’ÉSO : Dre Michelle Harwood

15 Jan 2025 // Mise à jour

Pourquoi certaines personnes restent-elles en bonne santé en vieillissant, alors que d’autres développent des maladies plus tôt? La Dre Michelle Harwood a utilisé des données de l’ÉSO dans sa recherche doctorale sur cette question, en explorant comment l’expression spécifique des allèles (ASE) contribue à la différence entre les personnes en bonne santé et celles qui

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