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Quoi de neuf à l’ÉSO?

Depuis 2010, l’Étude sur la santé Ontario (ÉSO) a travaillé fort pour mettre en place une plateforme de recherche sur les maladies chroniques. En collaboration avec le milieu de la recherche et des Ontariens de partout dans la province, nous suivons présentement la santé d’environ 225 000 personnes et avons recueilli plus de 40 000 échantillons de sang. Nous constituons une base de données renfermant des renseignements sur la santé ainsi qu’une bio-banque pour que les chercheurs puissent mieux comprendre le lien existant entre la génétique, le mode de vie et l’environnement – et l’influence qu’ils ont sur notre santé.

Dans la présente section, vous trouverez de l’information au sujet des diverses activités entreprises dans le cadre de l’Étude et les initiatives à venir.

Blood tubes in the laboratory centrifuge

Bulletin de l’Étude sur la santé Ontario, juin 2023

19 Juin 2023 // Échos de l'ÉSO

Dans ce numéro : • Aidez-nous à protéger votre vie privée et votre compte de l’ÉSO • La feuille de route de l’accès aux données de l’ÉSO • Quel type de récits aimeriez-vous lire? • 10 ans d’ÉSO en 10 faits • L’ÉSO fera partie d’un nouvel environnement de recherche national • L’Étude sur les

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Explorez le lien travail-santé : de nouvelles données sur la vie professionnelle viennent enrichir les données et les bio-échantillons de l’Étude sur la santé Ontario

19 Mai 2023 // Mise à jour

Des données professionnelles et psychosociales connexes recueillies auprès de plus de 33 000 participants à l’ÉSO sont désormais à la disposition des chercheurs. Recueillies en 2019 au moyen d’un questionnaire détaillé sur les antécédents professionnels, la durée d’emploi, les expositions, les niveaux d’activité physique, le travail posté, les temps de trajet et plus encore, les

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Un étudiant au doctorat utilise des données de l’ÉSO pour détecter des signes précoces de cancer

3 Mar 2023 // Mise à jour

Nicholas Cheng utilise des données pour comparer plus de 400 participants à l’ÉSO ayant reçu un diagnostic de cancer avec des participants appariés n’ayant pas de cancer pour trouver des biomarqueurs sanguins qui pourraient servir à détecter les cancers du sein, de la prostate et du pancréas plusieurs années avant un diagnostic traditionnel. Écoutez ce

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