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Quoi de neuf à l’ÉSO?

Depuis 2010, l’Étude sur la santé Ontario (ÉSO) a travaillé fort pour mettre en place une plateforme de recherche sur les maladies chroniques. En collaboration avec le milieu de la recherche et des Ontariens de partout dans la province, nous suivons présentement la santé d’environ 225 000 personnes et avons recueilli plus de 40 000 échantillons de sang. Nous constituons une base de données renfermant des renseignements sur la santé ainsi qu’une bio-banque pour que les chercheurs puissent mieux comprendre le lien existant entre la génétique, le mode de vie et l’environnement – et l’influence qu’ils ont sur notre santé.

Dans la présente section, vous trouverez de l’information au sujet des diverses activités entreprises dans le cadre de l’Étude et les initiatives à venir.

Blood tubes in the laboratory centrifuge

CanPath : Plateforme démographique canadienne pour une médecine personnalisée

15 Fév 2022 // Mise à jour

Le domaine émergent de la médecine personnalisée, ou médecine de précision, offre un potentiel énorme pour aider les médecins à adapter les traitements médicaux à une personne, en fonction de ses antécédents médicaux et de sa situation personnelle. Lisez comment CanPath (et l’ÉSO, en tant que contributeur principal) aide les chercheurs à explorer comment la biologie,

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Données provenant de 10 000 participants à l’ÉSO dans le cadre de l’étude sur l’efficacité vaccinale

8 Fév 2022 // Mise à jour

Les chercheurs de l’Étude sur la santé en Ontario se sont vu octroyer une subvention de fonctionnement de 500 000 $ des IRSC pour établir un lien entre les niveaux d’anticorps contre la COVID-19 et l’efficacité des vaccins en examinant les niveaux d’infection à la COVID-19, les taux d’hospitalisation et les décès chez les participants

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Des modèles d’apprentissage automatique utilisant les données de l’ÉSO peuvent aider à détecter le risque de leucémie myéloïde aiguë des années plus tôt

6 Déc 2021 // Mise à jour

Dans cette présentation de 2021, Kimberly Skead, doctorante et coordonnatrice du Centre canadien d’intégration des données, et Philip Awadalla, directeur exécutif de l’Étude sur la santé en Ontario, expliquent pourquoi certaines personnes développent un type de leucémie, mais d’autres non, malgré une augmentation liée à l’âge des mutations dans les cellules sanguines, observée dans l’étude

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