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Quoi de neuf à l’ÉSO?

Depuis 2010, l’Étude sur la santé Ontario (ÉSO) a travaillé fort pour mettre en place une plateforme de recherche sur les maladies chroniques. En collaboration avec le milieu de la recherche et des Ontariens de partout dans la province, nous suivons présentement la santé d’environ 225 000 personnes et avons recueilli plus de 40 000 échantillons de sang. Nous constituons une base de données renfermant des renseignements sur la santé ainsi qu’une bio-banque pour que les chercheurs puissent mieux comprendre le lien existant entre la génétique, le mode de vie et l’environnement – et l’influence qu’ils ont sur notre santé.

Dans la présente section, vous trouverez de l’information au sujet des diverses activités entreprises dans le cadre de l’Étude et les initiatives à venir.

Blood tubes in the laboratory centrifuge

CanPath étudiera l’impact et la réponse immunitaire à une infection et à la vaccination contre la COVID-19

1 Déc 2021 // Mise à jour

L’étude sur les anticorps à la COVID-19 du Partenariat canadien pour la santé de demain (CanPath) prend de l’expansion. Le gouvernement du Canada investit 1,9 million de dollars par l’intermédiaire du Groupe de travail sur l’immunité face à la COVID-19 (GTIC) du Canada pour financer la prolongation de l’étude actuelle de CanPath sur une plus

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Bulletin de l’Étude sur la santé Ontario, novembre 2021

30 Nov 2021 // Échos de l'ÉSO

Dans ce numéro : L’étude internationale PSY-CA utilise des données de l’ÉSO sur la dépression Mise à jour au sujet de l’Étude sur les anticorps à la COVID-19 Les étudiants acquièrent une expérience pratique avec un ensemble de données synthétiques Rencontre publique 24 février 2022 Une immense plateforme de recherche mondiale englobe désormais les données

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Détection précoce de marqueurs du cancer rendue possible par la recherche faite à l’aide des échantillons de l’ÉSO

26 Nov 2021 // Mise à jour

Des échantillons de plasma de 330 participants à l’ÉSO ont été utilisés pour démontrer que certains marqueurs présents dans le sang pouvaient être utilisés pour prédire des cancers jusqu’à sept ans avant le diagnostic d’un médecin. Nicholas Cheng, étudiant au doctorat au laboratoire Awadalla de l’Institut ontarien de recherche sur le cancer, a présenté ses

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